Il a eu suffisamment le temps de placer ses pions, comme Bush et Clinton, pour ne pas avoir à s'inquiéter de sa petite retraite
Cela dit, ce que j'aime chez Obama et qu'on ne retrouvait certainement pas chez Bush, c'est ce coté "second degré" et "dérision" que je pense être indispensable pour une telle fonction, où tu ne peux vraiment pas tout prendre au premier degré, même si les responsabilités sont très importantes.