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Guybrush 8440 Bob
Reprise automatique du message précédent.
Bah disons que ce qui est frustrant, c'est que la fin est pratiquement totalement indépendante du scénario des 6 chapitres :-D
Tchou 3590 Bob
Et qu'on ne comprends pas ce qui est arrivé à certaines personnes pour faire ce qu'elles ont fait. Ouais, il frustre car il reste des trous dans le plot ! Qu'est-il arrivé pour que l'Idaho originel en vienne à sa décision concernant le bombardement des survivalistes, Rebecca aussi est assez mal développée et je m'attendais à voir plus de choses la concernant, etc... Vu que pas mal d'infos (dont voir ou pas physiquement Rebecca (je l'ai eu dans ma partie, mais c'était sur un chemin du chapitre 6)) arrivent sur des événements "anomalie", peut-être est-ce qu'il faut plusieurs runs pour chopper tout.

Dans cette optique, j'ai refait un départ du chapitre 1, j'en suis au 3, avec l'habitude et en zappant les dialogues connus, un run se fait en une grosse heure au lieu de deux. Je reste à bien aimer ce petit jeu, il a ses tares, mais c'est ce qui fait son charme.
Tchou 3590 Bob
Je me suis remis à CK3 (j'avais à peine commencé, cela dit). Une partie rapide avec un perso préconisé, puis j'ai enlevé les roulettes en me donnant un objectif "local", recréer le royaume de provence / de bourgogne / d'arles (il a plusieurs noms, dans le jeu seul le "de bourgogne" existe semble t'il, sniiiif... peut-être est-ce dû au départ en 1066 ?).

Donc, je prend le comte local, et je lance la partie (en ironman, histoire de ne pas avoir la tentation de save-scummer tel le save-scummeur que je peux être) : ah, merde, il a des caracs de merde, pas de famille hormis un fils, pas de femme, pas d'allié, quedalle ! Il est comploteur, et son seul trait potable est en intrigue ? Ok, on va intri... il est "juste" donc à chaque intrigue il stresse ? Bon, faudra décompress... il est paresseux, donc aller à la chasse le destresse pas ? Bon, ok, il reste pas grand ch... il est cupide donc pas non plus possible via des fêtes ? Et je ne parle même pas des atouts qu'il avait : ne pas perdre de renommée en torturant les prisonniers, c'est bien... sauf quand tu es tortureur ET juste. Mais quel bras cassé !!!

Or donc, la vie de Rainaut d'Orange se déroule quelque peu bizarrement, toujours en stress, sur le fil du rasoir, à mener ses petites intrigues tout en s'en voulant. J'arrive à commencer à peser dans le game local en prenant 2 comtés, j'ai de quoi me positionner pour le duché de Provence (sauf que le duc, mon seigneur, est bien plus puissant militairement). Je me dis que ça va, je prépare pour la génération suivante, sauf qu'il faudrait que je choppe le duché avant ma mort, car s'il y a un truc que je sais bien faire, c'est au pieu : 6 enfants, tous légitimes. Seul petit problème : que des fils, pas une seule fille que je pourrai marier pour une alliance. Autant dire que la succession risque d'être chahutée. Je suis méga stressé et en galère de prestige, je fais une chasse : mon fils ainé bute sans raison un grouillot. Je l'aide, on réussit à cacher le corps (60% de réussite, et une cata si je loupait). Quelques années après, exactement la même, ce con-là bute sous mes yeux un autre glandu, et pareil, jet de dé réussi (même si j'ai franchement hésité à le dénoncer voire le tuer de mes mains). Je retourne manigancer pour le duché, je fais chanter le pape pour qu'il me déclare légitime pour briguer le duché, youhou ! Et là, je tombe malade. On tente la guérison, fumble : je perd une jambe, je meurs très vite.

Patatras, ma belle puissance envolée, partagée entre 3 fils dont j'ai hérité du plus con, le psychopathe (j'aurais préféré le second, brillant même si handicapé par un trait "nain"). Sauf que ce con-là a pour trait "complaisant" (donc je ne comprends toujours pas ce qui a pu causer les deux épisodes de meurtre). Complaisant, c'est à peine moins chiant que juste, tous les complots "potables" me font stresser. Bon, bah on roleplay le mec complaisant, c'est le règne du mec sympa, je fais ami-ami avec tout le monde. J'ai marié une galloise avec le trait "magnifique", mes gosses sont pas mal à en hériter, cool. Deux garçons, 4 filles, parfait. Je reste peinard sur mon unique comté, j'attends que le duc crève pour rebattre les cartes, je fais même ami-ami avec mes frères. La première croisade se lance, j'y vais, je cause l'unique défaite chrétienne de la croisade (ouais, doué de mes mains, aussi !), et malgré ça, le pape me récompense et file à un de mes (demi-)frère (le 4ème, le premier sans titre) un duché en palestine, youhou !

Sauf que ce con-là, mon troisième frère complotait pour lui pour le poste de duc de provence. Et fort de sa puissance de duc, il a eu des alliés puissants. Et ils ont lancé une guerre pour que cet ingrat soit double-duc. Alors que c'est MOI qui compte bien être duc !!! Et c'est le moment où je me choppe un premier stress, rien de bien méchant. Je décide d'aller au bordel, classique, et ma première incursion ailleurs que dans le lit de mon âme-sœur la reine. Paf, petite vérole ! Qui dégénère, en fait c'était pas la petite, c'était la grosse ! Je refourgue les deux à ma femme, on essaie de la soigner, elle se remet, on essaie de me soigner : crac ! S'ensuit trois années difficiles où je suis à la limite de la mort, mon héritier n'est pas encore adulte (mais d'un tempérament différent du mien), j'arrive à accroître mon territoire in extrémis, et je meurs quelques jours après son passage à l'âge adulte.

Situation après deux générations : retour à la case départ. Non, on a une dynastie qui commence à exister (on a commencé il n'y avait que deux d'Orange), mon seigneur lige va être un oncle (mais ça peut peut-être se régler à coups d'accidents bêtes pour en hériter "fortuitement"), mais le nouveau dirigeant n'est plus ni le benêt de grand-père Rainaut, ni l'abruti naïf de père (Rainaut aussi), là on va parler sérieusement, avec un sadique-ambitieux-sociable doté d'une belle gueule et d'une excellente éducation (16 en diplomatie, 20 en intrigue, le reste à 8, le grand-père culminait à 7-8 max). Autant dire que l'ambiance va changer à la cour. Longue vie au jeune comte Acfred d'Orange, et que je sois damné s'il ne finit pas duc sinon roi.
yaug 1472 Spammeur
ça me donne envie de me mettre à CK ce petit résumé :blush:
Sysson 1417 Spammeur
Excellent merci, c'est passionnant à lire!

Longue vie à Acfred d'Orange!
Tchou 3590 Bob
J'ai bien eu en duc mon oncle Daví. Par contre, pas de bol, à peine un an après son accession au pouvoir, quelle malchance, une bande de brigands l'a attaqué et il est mort. Quelle tristesse. Donc, reste son fils et sa fille (des jumeaux) de 6 ans, s'il leur arrivait malheur, je serais bien contre mon gré l'héritier de 2 duchés.

Et là, mon abruti d'oncle, celui-là même qui avait magouillé pour mettre Daví sur le duché, le lendemain de sa mort fomente une révolte contre "la tyrannie" de premier fils de celui-ci, et me propose de participer. Si on gagne, le nouveau duc perd son titre au profit du suivant sur la ligne de succession, donc ça évite que celui-ci glisse sur une dague qui trainait (il faut sans cesse rappeler aux enfants de ne pas jouer avec !), j'y vais. On est à trois contre un, ce devait être une formalité, et la guerre prend une mauvaise tournure (peut-être un bug : le bateau des alliés est bloqué en méditerranée et ne bouge plus, leur armée meurt de mois en mois en mer). Je cherche à en sortir. Je me dis que si le comte de Nice tombe malencontreusement sur une dague, la guerre peut s'arrêter, et en plus, vu qu'il n'a pas d'héritier, je crois que je suis son héritier. Et je retourne m'occuper des jumeaux.

À la météo, ils prévoyaient une pluie de couteaux sur la dynastie. Je serais de la famille, j'éviterais de trop sortir.
Tchou 3590 Bob
Des nouvelles d'Arcfred... enfin, duc Arcfred. Qui est dans la merde.

Suite à une épidémie gallopante de morts inexpliquées dans la famille, je suis subitement passé d'obscur comte possédant un comté à Duc d'Outre-Jourdain (à l'est de Jerusalem), vassal du roi de Jerusalem, et je suis également Duc de Provence en second duché, dans la situation étrange où du jour au lendemain je combat contre la tyrannie d'un duc avec mes oncles Gaston et Anton (Anton étant mon "bienfaiteur" qui avait déclenché la prise de pouvoir de la famille sur le duché il y a quelques années), dans une guerre perdue pour nous, et subitement je deviens moi le Duc, et donc la guerre est quasi gagnée pour moi, je les défonce et emprisonne tout ce petit monde, les rançonne et torture leurs sujets (enfin la base pour la sadique que je suis), ce qui tend un chouïa les relations entre mes oncles et moi.

Je transfère la capitale en Provence, pour faire de la Provence mon titre principal, mais je reste vassal du petit roi de Jerusalem, et non du mastodonte qu'est devenu la France (qui n'est plus un royaume, mais un empire car il a bouffé pas mal de place sur l'est). Donc, je suis jeune à 19 ans, mais l'objectif du royaume de Provence (royaume de Bourgogne) est inatteignable à court terme, car il m'est impossible d'attaquer une France 5 fois plus puissante que moi. Et qui va en plus bientôt bouffer le Piemont par une revendication de la duchesse de Savoie sur celui-ci, autant dire que je suis encerclé.

M'étendre dans le proche-orient me semble peu intéressant, car je sais que si on nomme la première croisade la "première", c'est que mon duché là-bas n'est pas forcément un investissement pérenne. Bon, bah, la méditerranée s'offre à moi, je commence à magouiller pour des bouts de Corse, puis de Sardaigne. Je suis beau, populaire, riche (entrées financières de 6 par mois), mais je veux plus. Entre temps, mon oncle Gaston qui me vouait une haine farouche se fait piquer son comté par Anton, avec lequel j'ai des rapports pas fous, mais potables... enfin, je croyais, j'étais surtout content de voir Gaston hors jeu. La Sardaigne, je compte la donner à mon dernier oncle, le sans-terre, sauf que pour ça il faut qu'il revienne à ma cour. Et là, fumble sur fumble de complots, non seulement il me bloque, pensant que j'en veux à son cul (littéralement) quand j'essaie juste d'améliorer nos relations, une tentative plus élaborée foire aussi, enfin, une cata : il me voue une haine farouche lui aussi, et impossible d'améliorer ça, surtout dans la période où les deux guerres m'ont ruiné, je suis couvert de dettes et je perd de l'argent à chaque mois qui passe avec mes troupes en guerre.

Dans le même temps, j'ai un autre problème : j'étais beau, riche, célèbre, mais j'ai un soucis domestique : tout ça c'est bien beau, mais ma femme, avant le mariage, j'avais pas remarqué un "petit" détail : elle est lesbienne. Autant dire que niveau devoir conjugal, c'est un peu le minimum syndical, et au bout de 10 ans de mariage, je n'ai toujours qu'un héritier, pire, une héritière (et comme vous avez pu le constater, le statut social d'une femme dans un jeu qui se veut simuler le moyen âge, il est pas super #meetoo). Je me dis qu'il faut remédier à ça, impossible d'améliorer mes relations avec ma femme (car passer plus de temps au pieu avec un mec ne l’intéresse PAS), je commence à partir dans des intérêts personnels plus orientés sexe. Ce qui en terme de jeu augmente aussi mon taux de fécondité, donc je couche aussi plus avec ma femme (donc au final j'ai ENFIN un héritier mâle, mais aussi un second... un second officiel, je veux dire), mais aussi avec d'autres, donc j'ai quatre bâtards ailleurs (dont un fils de duc qui officiellement n'est pas de moi, mais dont le lignage est contesté), j'en légitimise deux (ce qui n'est pas sans conséquences néfastes sur mes relations avec l'église comme vous verrez plus tard).

Je suis donc : double duc, multiple comte, ma descendance est assurée, j'ai bien manœuvré y compris parfois avec l'aide du poison ou de la dague pour aider des membres de la famille un peu éloignée, on commence à avoir des titres en Espagne, en Pologne, tout va pour le bien. Sauf que je suis exsangue financièrement, mes armées sont épuisées au bout de 10 ans de guerres quasi initerrompues, les relations avec mon roi sont pas top car il n'arrêtait pas de vouloir faire éduquer mes héritiers par une nonne lombarde dont je ne voulait pas, donc je refusait ses exigences.

Et là, la dernière guerre contre le Calife de Tunis même pas encore finie pour un misérable comté en Sardaigne (cette guerre m'a coûté énormément pour un gain ridicule), j'ai deux factions sédicieuses sur le cul, j'accepte les revendications de l'une pour pas être dans la merde (mais c'est un gros handicap financier pour longtemps), et la seconde, c'est.... mon putain d'oncle Anton, qui veut mettre son dernier frere, le sans-terre, celui auquel je comptais filer beaucoup, mais avec lequel j'ai fait preuve de malchance, celui-là même, il veut le foutre sur le trône du duché de Provence ! Je suis exsangue financièrement, épuisé militairement, mais faut y aller, et a priori ce ne sera pas compliqué, ils me sont quand même inférieurs. Je gagne, mais peu avant la fin, patatras : mon fumier d'oncle Anton (anciennement "mon bienfaiteur le comte Anton"), un cul-béni là où avec mes légitimations de bâtards (et heureusement qu'ils ne connaissent pas le nombre de meurtres que j'ai commandités) je suis beaucoup moins vu des soutanes, mon oncle Anton donc magouille auprès du pape, qui m'excommunie !

Et là, c'est la merde. Bon, pas pour la guerre, je viens de la gagner, par contre, je suis devenu un paria. J'ai négligé mes rapports avec mon seigneur lige (le roi de Jerusalem), avec cette excommunication les relations sont encore pire, et celui-ci a toute autorité pour m'emprisonner, voire m'ôter mes titres (car je suis un criminel aux yeux d'un catholique). Je tente le damage control en envoyant de toute urgence une opération séduction auprès de lui, ça a marché, mais pas assez : je viens de recevoir une missive de sa part exigeant que je me rende pour aller en prison.

Je peux soit obéir, soit me rebeller et prendre les armes. Sauf que : armée exsangue, finances à plat et revenus des comtés au plus bas car en révolte. J'ai coupé le jeu à ce moment-là, je n'ai pas encore pris ma décision quand à ce que je vais faire ensuite. La prison, passe encore, mais si c'est la première étape avant de me supprimer mes titres, là ce sera un sacré coup dur pour qui avant la désastreuse campagne pour Tortoli était "le magnifique", probablement le magouilleur le plus doué de sa génération, qui jouait autant de sa beauté que de sa cruauté.
Sysson 1417 Spammeur
Quel générateur d'histoires, c'est génial!
Tchou 3590 Bob
Tchoulà ce sera un sacré coup dur pour qui avant la désastreuse campagne pour Tortoli était "le magnifique", probablement le magouilleur le plus doué de sa génération, qui jouait autant de sa beauté que de sa cruauté.
C'est dommage qu'on ne puisse pas renommer les persos, car ça me rappelle furieusement l'actualité récente.

J'ai pas relancé, me faisant happer par l'hypnose de l'actualité ("twitter" - "france-info" - "twitter avec france-info en fond" - "tiens, j'ai une overdose, ils se répètent, allons voir un autre point de vue, mettons les chaines info anglaises"... à un moment, voyant le numéro de canal sur la télé, j'ai hésité à aller voir RT juste pour voir à quel point c'était bien la propagande annoncée), mais j'ai 2 solutions en tête :
1) résister. Je suis ambitieux, sadique. Ce serai roleplay que de résister pour forcer le roi à bouffer ma merde publiquement. Sauf que je suis en infériorité numérique. Il faut que je voie si je peux fiancer mes enfants (encore en bas âge) à des alliés puissants, pour tourner le rapport de force. L'inconvénient de la méthode est que quel que soit l'allié que je trouverai, il sera loin de Jerusalem... sauf à m'allier avec des musulmans, après tout, ils me détesteront à peine plus que les cathos. Ça reste méga risqué, et même si je gagne la guerre et qu'il ne peut rien exiger de moi quoi que ce soit en ce moment, quand la guerre sera gagnée, je resterai excommunié, donc criminel à ses yeux et aux yeux de tous les catholiques, donc sanctionnable par mon roi, retour à la case départ.

2) faire un coup d'esbrouffe : il peut exiger ma liberté, mes titres, ou ma tête parce que je suis son vassal. Ok, donc je ne vais plus l'être : je refourgue mes duchés à mon fils, je deviens son vassal et je ne suis plus vassal direct du roi. Bon, rien n'empêche mon fils de me faire le même coup, mais j'espère que les relations filiales aideront à garder la tête sur les épaules. Je veux dire, surtout la mienne, je détesterai avoir la succession de fenêtres "vous avez été exécuté"/"vous avez exécuté". Et je profite de l'arnaque pour relancer une campagne de morts suspectes. J'espère que le roi et le pape vérifient leur literies avant de se coucher, il fait froid en ce moment et les vipères aiment bien se mettre au chaud.


Ce message a été modifié 1 fois. Dernière modification : 28 février 2022 à 11:09 par Tchou.

Tchou 3590 Bob
Je lis les derniers messages et je ris (je suis bon public parfois avec les convolutions que j'impose à mes récits, même si avec le recul c'était difficilement compréhensible), et je me rends compte que je n'ai pas relancé CK3 depuis. Je pense que le destin de Tortoli restera en suspend.

Je venais poster autre chose : ma découverte d'un jeu qui je pense pourra intéresser certains ici : Against the storm. C'est un mélange improbable de city builder (ah, je vois les oreilles de certains qui se dressent) et de roguelike (et les-dites oreilles se rétractent d'incompréhension). C'est donc un city builder sous contraintes de temps, sous contraintes de disponibilité changeante des bâtiments disponibles à construire, et sous contrainte de missions différentes pour progresser, de ressources différentes et random, etc...

C'est un monde où la tempête fait rage. Tous les "ans" (un an durant 3 saisons de 3'30 je pense), tu as une saison de petite tempête, qui s'amplifie au fur et à mesure du temps passé. C'est une période où c'est bien plus compliqué de bosser, le moral est bas. Et ton but est de parvenir à gagner assez de points de réputation avant que l'impatience de la reine ne soit trop importante, te faisant perdre le jeu. Quand tu gagne un point, tu as le choix dans un nouveau schéma de bâtiment à construire à choisir parmi 3/4, ce qui peut parfois te faire hurler contre le rng qui propose des bâtiments qui ne t'interessent pas. Quand tu as gagné tous tes points, la partie s'arrête, et tu retourne à la capitale, tu peux dépenser ce que tu as gagné dans l'amélioration de tes compétences pour la partie suivante... et tu repars, dans une autre forêt à défricher, peut-être dans un autre biome, et où chaque clairière apportera de nouvelles surprises. Et tu peux commercer avec la ville que tu as faite juste avant.

Au bout de quelques runs, la grosse tempête finale s'abat, et elle réinitialise la carte complètement, il ne te reste que tes compétences passives, tu peux repartir refaire une ville, en sachant que la partie s'arrête avant que celle-ci ne soit tentaculaire. C'est un jeu sur le début de partie d'un city builder classique.

Le jeu est encore en Early Access, et il a une démo testable sur steam. Pas sûr que j'y joue des centaines d'heures, mais pour le moment j'aime bien. Le truc vraiment bien réfléchi je trouve, c'est qu'au fur et à mesure tu es plus puissant donc c'est plus "facile", mais avec les parties tu gagne de l'XP qui débloque d'autres pans du jeu qui complexifient ou qui juste débloquent d'autres plans qui diluent donc les chances d'avoir celui qui te serai idéal là maintenant.
Sysson 1417 Spammeur
Ça a l'air d'appuyer sur tous les boutons et genre qui me font kiffer, merci pour la recommandation!

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